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Tombeau des Askia (Gao)

La spectaculaire structure pyramidale du tombeau des Askia, édifiée par Askia Mohamed, Empereur du Songhaï, en 1495 dans sa capitale Gao, témoigne de la puissance et de la richesse de l’empire qui s’épanouit aux XVe et XVIe siècles grâce au contrôle du commerce transsaharien, notamment du sel et de l’or. L’ensemble, y compris la tombe pyramidale, les deux mosquées à toit plat, le cimetière de la mosquée et l’espace des assemblées en plein air, fut édifié lorsque Gao devint la capitale de l’Empire songhaï et après qu’Askia Mohamed eut fait de l’islam la religion officielle de l’Empire à son retour de la Mecque.
Le tombeau des Askia a été inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de la 28è session du Comité du Patrimoine Mondial tenue à Suzhou, en Chine, le 28 Juillet 2004, soit cinq cent dix ans (510 ans) après sa construction en 1495.

 

Fort de Medine (Kayes)

Construit en 1855 par Faidherbe, un officier de l'armée française, le Fort de Médine est le premier dispositif militaire dans la conquête du Soudan Français. Sa position stratégique sur le fleuve Sénégal permettait non seulement de surveiller la région déjà soumise entre Bakel (au Sénégal) et la ville de Médine, mais aussi de l'utiliser comme tête de proue pour la conquête des vastes territoires compris entre les bassins du Sénégal et du Niger. Le 20 avril 1857, environ deux ans après la construction du fort, El Hadj Omar Tall mit le siège devant Médine jusqu'au 18 juillet 1857, date à laquelle Faidherbe débarqua avec ses troupes pour sauver la ville. A la même occasion, Médine devenait le siège de l'administration coloniale. L'ouvrage comprend un grand bâtiment à deux niveaux (le mess des officiers) et des structures annexes (la poudrière, la prison et l'Ecole des Otages), le tout entouré d'une imposante muraille en pierres.
Longtemps méprisé parce que regardé comme symbole de la domination coloniale, le Fort de Médine a retrouvé sa place parmi les monuments du Mali. Il a été inscrit à l'inventaire par Décision N° 0444/MC - SG du 07 mai 2001 et classé dans le patrimoine culturel national par Décret n°92-240/P-RM du 1er décembre 1992. Pour célébrer son importance historique et culturelle, la Journée nationale du patrimoine culturel du 18 mai 1992 y a été consacrée. Aujourd'hui, le Fort est en restauration.

 

Mont Hombori (Hombori)

Les monts Hombori constituent un massif rocheux situé dans le prolongement de la falaise de Bandiagara dans la région de Mopti au Mali, près du village d'Hombori à environ 100 km de la ville de Douentza. Culminant à 1 155 mètres, le Hombori Tondo est le sommet le plus élevé du Mali.
C’est un site archéologique. Plusieurs grottes auraient été habitées il y a 2000 ans. La population actuelle des monts Hombori est principalement des ethnies des Dogons et des Songhaïs.

 

Grande Mosquee de Djenne (Djenne)

La Grande mosquée de Djenné est le plus grand édifice du monde en terre crue adobe (on dit aussi banco en Afrique) ; elle est considérée par de nombreux architects  comme la réalisation majeure du style architectural soudano-sahélien, tout en reflétant des influences islamiques.
La mosquée est située dans la cité de Djenné, au Mali, dans la plaine alluviale du Bani, affluent du Niger. Un premier édifice fut construit en ce lieu au xiiie siècle, mais la construction actuelle date seulement des environs de 1907. Marquant le centre de l’agglomération de Djenné, c’est aussi l’un des symboles les plus remarquables de l’Afrique subsaharienne. De concert avec la ville de Djenné elle-même, elle est inscrite depuis 1988 à la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.

 

Mosquee de Kankou empereur du Mali

La mosquée de Kankou Moussa (Empereur de l'empire du Mali) dont les ruines ont été decouvertes en 1992 à Gao, fut construite en 1324. Ces vestiges montrent sans risque de se tromper que Gao à jouer un rôle très important aussi bien pendant l'Empire du Mali que pendant l'Empire Songhoï dont il était la capitale. Selon les archéologues, ce vestige à été construit probablement pendant le voyage de Kankou Roi de l'Empire du Mali à la Mecque pour son pélérinage.

 

Mosquee  Sankore

La mosquée de Sankoré à Tombouctou, au Mali, s'est fait connaître comme une maison de culte islamique au cours de l'Empire du Mali, l'un des grands empires de l'ouest du Soudan, en Afrique du Nord. L'empire origine au 11ème siècle, a atteint son apogée au 14ème siècle, puis elles ont diminué, mais la mosquée a continué à jouer un rôle important dans la culture du pays et de la société. Les érudits musulmans de partout dans le Moyen-Orient ont enseigné à une école établie dans la mosquée pendant le 16ème siècle.

 

Maison des Artisants

La Maison des artisans de Bamako est située dans la capitale malienne.
Anciennement Maison des artisans du Mali, cette structure, était régie par la loi du 26 juillet 1986. Elle est chargée de stimuler la création artisanale, d’assurer la formation et le perfectionnement des artisans, d’organiser les artisans pour la production et l’écoulement des produits.
En 1995, des réformes dans le secteur de l’artisanat créent des maisons des artisans dans différentes villes maliennes : Ménaka, Tombouctou, Gao et Kidal. Un projet de loi adopté en Conseil des ministres le 18 octobre 2006 transforme la Maison des artisans du Mali en Maison des artisans de Bamako.